Pas de chat, pas d’allergie
Un chat est, pour certains, tout ce qu’il y a de mignon et doux mais il est hautement conseillé de le laisser loin des chambres pour pas qu’il y ait développement des allergies.
S’il est difficile de prédire s’il y aura ou non apparition d’une allergie, certains signes sont, cependant, prédictifs.
Une étude italienne a impliqué 6.292 participants âgés de 20 à 44 ans, issus de l’Europe entière et chez qui une analyse de sang avait été faite, 9 ans plutôt, pour s’assurer qu’ils n’ont pas les cellules spécifiques qui apparaissent lors d’un contact avec les squames (peau morte) de chat.
Une deuxième prise de sang a donc été faite après 9 ans et les auteurs de l’étude ont constaté que ceux qui ont acquis un chat entre les deux tests sanguins et qui le laissaient pénétrer dans leurs chambres à coucher avaient manifesté le plus de symptômes allergiques.
Cette allergie était d’autant plus importante que ces personnes étaient allergiques à d’autres substances ou qu’ils n’avaient jamais élevé un félin dans leur enfance.
E.K.L