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Le médecin généraliste a certes un rôle très important à jouer. Il est capable de traiter certaines maladies, de diagnostiquer, de contrôler et de suivre. Mais, il faut dire aussi que la médecine générale a aussi ses frontières ! Parce que le traitement de certaines maladies lourdes implique, en effet, l’avis d’un spécialiste.

Lorsqu’on a l’habitude d’être traité par un médecin durant une longue période, une relation de confiance se noue. Au moindre pépin, c’est vers le médecin de famille qu’on se dirige. Ce dernier nous connait, connait notre dossier, nos antécédents et même les maladies héréditaires dans notre famille. Ceci dit, si un médecin généraliste est totalement capable de venir à bout de plusieurs maux, s’il est aussi totalement apte à diagnostiquer bon nombre de maladies et à suivre le processus du traitement.

Dans les années 50 et jusqu’à la fin des années 70, les Tunisiens se rendaient, souvent, chez les médecins généralistes dès qu’ils avaient mal quelque part et ne consultaient, directement, un spécialiste que dans les cas extrêmes. C’était donc le généraliste qui, lorsqu’il se sentait dépassé, prenait la décision d’orienter son patient, recommandation écrite à la main, à voir un spécialiste qu’il choisissait nommément.

Mais depuis, les habitudes ont changé et les patients prenaient la décision, d’eux-mêmes, d’aller voir un spécialiste selon les maux dont ils souffrent. Et du coup, les cabinets des généralistes commençaient à se vider, notamment à Tunis et dans les grandes villes. D’où la crainte quant à une éventuelle « mort » de cette « spécialité » de la médecine générale.

La succion du pouce est un comportement normal. D’ailleurs, ce réflexe inné existe dès la phase in utéro alors que le bébé est encore dans le ventre de sa mère. Plusieurs fœtus sont vus à l’échographie en train de sucer le pouce ou le poing. Cependant, si elle persiste au-delà de trois ans, la succion risque d’interférer avec la croissance de l’enfant. D’où le dilemme de nombreux parents ! En effet, cela peut entraîner des déformations bucco-dentaires et peut se retentir même sur l’apparence et l’esthétique du visage.

La succion est vue par certains spécialistes comme un mécanisme d’autosatisfaction, d’autodéfense et de consolation. Elle sécurise l’enfant, le rassure et l’aide à s’endormir. Une fois le premier âge passé, cette habitude disparaît le plus souvent spontanément.

Bébé est tout nouveau dans ce monde. Pleurer est son unique moyen pour communiquer, demander ce dont il a besoin et transmettre ce dont il souffre. Certes, c’est pénible pour les parents mais décryptage oblige, il faut apprendre à le comprendre.

La faim, l’inconfort, la douleur, la tristesse ou encore l’envie de dormir… Différentes sont les significations des pleurs de bébé mais peut être pourra-t-on les décoder en se référant à sa manière de pleurer ?

Le tire-lait est un appareil qui, comme son nom l’indique, tire le lait des seins d’une maman. L’appareil est sous forme de pompe munie d’une sorte de ventouse. Le lait est extrait comme par succion. Il est aussitôt recueilli dans un récipient et peut être donné immédiatement au bébé ou conservé pour des usages ultérieurs.

Le tire-lait : pourquoi ? Le tire-lait peut s’avérer utile à plus d’un titre : Lorsque la maman souffre d’une irritation au niveau des seins, l’allaitement naturel peut s’avérer douloureux. Pour éviter la sensation de brûlure ou de gêne ressentie lors de l’allaitement naturel, l’usage d’un tire-lait peut être indiqué. En effet l’usage d’un tire-lait n’est pas douloureux. La maman peut donc l’utiliser en attendant que l’irritation disparaisse.