Nouvel épisode de « à la recherche de l’ivresse » : les tampons vaginaux à la vodka
Insolite et toujours dans la course effrénée à l’alcoolisation, une astuce venue de Grande-Bretagne pour s’enivrer le plus rapidement possible en dépensant le moins d’argent possible, est d’imbiber un tampon périodique (eh oui !!) avec de la vodka et de « le mettre là où je pense », c’est-à-dire par voie rectale ou vaginale.
Cette technique a été motivée par le fait que l’administration rectale de médicaments permet une bonne absorption des molécules, l’extrapolation à l’éthanol n’étant qu’une conséquence, elle permet en effet de passer outre la barrière du tractus gastro-intestinal. Concernant la voie vaginale, la plupart des médicaments utilisés agissent de façon locale, il n’y a donc pas assez de données sur le passage dans le sang de ces molécules et donc de l’éthanol.
Seuls hics, l’augmentation des comas éthyliques et les irritations causées par le contact direct de l’alcool avec les muqueuses décrites dans la presse.
Une étude parue dernièrement dans la revue The American Journal of Emergency Medicine et qui a évalué les quantités de vodka absorbées par les tampons vendus dans le commerce, a conclut que le risque d’intoxication était minime.
Seul le risque d’irritation persiste, partagé avec l’introduction de tout objet ou substance sortis de son usage premier…
K.L