Les 3 M

Plusieurs sont les malformations de l’appareil urogénital survenant pendant le développement du fœtus de sexe masculin et l’hypospadias en est une. Il s’agit de l’anomalie la plus fréquente du pénis, sa prévalence est de l’ordre de 1 à 8 pour 1000 naissances masculines.

L’hypospadias est une anomalie complexe de la verge qui associe un abouchement anormal de l’orifice uréthral appelé aussi méat urinaire. S’y associe fréquemment une courbure de la verge et un développement incomplet du prépuce.

De petite ou de grande taille et de couleur jaunâtre ou blanchâtre, les aphtes sont des petites ulcérations qui peuvent se développer sur la langue, la gencive, la face interne des lèvres ou à l’intérieur des joues. Les femmes seraient plus concernées par ces lésions que les hommes. Il n’y a pas de risque de contagion par les aphtes.

Les aphtes sont douloureux, inconfortables  mais sans graves conséquences sur la santé. Cependant, les aphtes récidivants peuvent être évocateurs d’une dépression immunitaire ou encore de ce qu’on appelle maladies de système qui nécessitent un avis spécialisé. A quoi sont dus les aphtes ?

L’infection urinaire est une pathologie qui touche hommes et femmes sans distinction, même si le taux d’atteinte chez le sexe féminin est plus élevé. Quels sont les symptômes de cette maladie ? Quels gestes faut-il adopter pour prévenir ou pour la traiter.

Autant de questions et bien d’autres que Docteur Kaïs Harzallah*, Professeur agrégé en néphrologie a bien voulu éclaircir. Interview… 1 – Quand est-ce qu’on peut parler d’infection urinaire ?

Une érection prolongée, au-delà de trois heures, en l’absence de tout stimulus sexuel et parfois accompagnée de douleurs définit le priapisme. Cette érection pathologique ne disparaît pas même après provocation de l’éjaculation.

Le priapisme est une urgence urologique qu’on ne peut différer. En l’absence de prise en charge efficace et dans les délais, le risque majeur est la survenue d’une impuissance irréversible. Une note d’anatomie

La mort cérébrale, appelée aussi mort encéphalique, signe le décès du patient. Il s’agit d’une situation pour laquelle les médecins n’ont aucune solution pour sauver la vie du patient.

La mort cérébrale est définie par la survenue de lésions secondaires à l’arrêt de la circulation sanguine dans le cerveau. Ces lésions sont dites lésions de nécrose. Si elles s’installent, elles sont irréversibles et définitives. Comment faire le diagnostic de mort cérébrale ?